La salle du Canada - Visite virtuelle


Cela vous dirait de voyager à travers le temps et découvrir des aspects de l’histoire sociale et économique du Canada?
Tout ce qu'il vous faut, c'est Quicktime VR Player d'Apple; si vous désirez le télécharger (c'est gratuit!), clicker sur le logo :

Instructions

Le QuickTime VR de la salle du Canada comprend 21 modules; chacun des modules comprend un film panoramique (ou, dans certains cas, deux films). Il vous est possible de visionner chaque film séparément, ou de télécharger un film multi-node qui contient la totalité des modules.

Il est possible de se déplacer à l'intérieur de chaque film Quicktime VR à l'aide des touches de direction droite ou gauche, ou de la souris. La touche «majuscules» (Windows) ou «option» (Macintosh) permet de s'approcher des images, et la touche de commande permet de s'en éloigner. Pour atteindre un autre module du film multi-node, cliquez la souris sur le symbole .


visite
complete
12,4 Mo

3,7 Mo

Film multi-node à haute résolution

Film multi-node à basse résolution


module 1
539 Ko La traversée de l’Atlantique Nord

Une colonie viking à Terre-Neuve
En quête de nouvelles terres, les Vikings entreprennent la traversée de l’Atlantique Nord vers 1000. La première exposition montre une famille viking déchargeant des outils et des provisions d’une petite embarcation à leur arrivée à Terre-Neuve.
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Exploration par les Européens, vers 1500
La recherche d’une voie maritime vers la route des épices et l’Orient méne les Européens à explorer l’Amérique du Nord. Les eaux côtières au large de l’Europe ont été exploitées outre mesure; au milieu du XVIe siècle, des navires commencèrent à traverser l’Atlantique pour pêcher et pour chasser la baleine.
Informations complémentaires

Le San Juan
Ici la reconstruction de la poupe d’un navire basque, probablement le San Juan, qui a coulé à l’automne 1565 à Terre-Neuve au cours d’une tempête.
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module 2
538 Ko Un navire basque

L’hiver au Labrador
Mal protégés contre le froid, vivant dans des conditions de vie insalubres et s’alimentant mal, les marins voyaient bon nombre d’entre eux succomber.
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La pêche à la morue
Quatre hommes nettoient la morue et conservent le poisson dans de grands tonneaux.
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module 3
539 Ko Les baleiniers

La chasse à la baleine
Tous les printemps, des centaines de navires européens naviguaient durant quatre semaines jusqu’à Terre-Neuve pour aller chasser la baleine.
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Le fondoir
Les Basques avaient créé une dizaine de stations de dépeçage sur la côte sud du Labrador. Une fois les baleines ramenées sur le rivage, on transformait le lard en huile au fondoir.
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module 4
538 Ko L’ancienne Acadie

Les digues
La section portant sur l’Acadie montre une coupe traversale d’une digue construite pour transformer les marais salants en un riche pays agricole dans la région de la baie de Fundy.
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Charrette acadienne, vers 1750
Munies de quatre roues ou de deux roues, les charrettes étaient tirées par des bœufs ou des chevaux.
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module 5
520 Ko La vie à la ferme

La maison de ferme que l'on voit est typique de l’époque de la Nouvelle-France. À l’intérieur, il y avait normalement une ou deux pièces séparées au beau milieu par un foyer utilisé pour la cuisson et le chauffage.
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module 6
520 Ko La porte de la ville

Les portes des villes et villages fortifiés de la Nouvelle-France (vers 1750) arboraient les armoiries royales.
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module 7
520 Ko Les murs de fortification

Pour arriver à la Place de la Nouvelle-France, vous devez traverser les murs de fortification qui protégeaient les habitants des attaques ennemies.
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module 8
539 Ko Place de la Nouvelle-France

Les villes de la Nouvelle-France
La plupart des villes occupaient des lieux stratégiques en bordure des cours d’eau ou des lacs. Des villes portuaires étaient des centres militaires, administratifs et commerciaux.
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Les bâtiments
La maison blanche appartient à un artisan aisé, le tonnelier; cet artisan talentueux fabriquait des tonneaux. La maison de pierre est la résidence et l'atelier d'un cordonnier. Le bâtiment de bois est une auberge, un lieu de recontre très couru par les voyageurs et les hommes du coin.
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module 9
539 Ko À l’intérieur de l’auberge

Comme l’auberge n’était pas très grande, les clients pouvaient prendre un matelas et une couverture et s’installer à même le sol. On faisait cuire la nourriture sur le foyer. Pour se distraire, les clients jouaient aux quilles, aux dames et aux échecs.
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module 10
539 Ko À l’intérieur de la maison du cordonnier

Dans un espace quelque peu réduit, le cordonnier logeait et nourrissait sa famille, et fabriquait et réparait des chaussures et d’autres articles en cuir.
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module 11
538 Ko Le couvent de la Nouvelle-France

L’hôpital
On ne voit qu’une petite section de l’hôpital (le batîment blanc), mais il aurait fait partie d’un ensemble beaucoup plus grand.
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La cloche de la chapelle
La cloche de la chapelle de Beauport, Québec, est la plus ancienne du Canada.
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module 12
538 Ko À l’intérieur de l’hôpital

Les sœurs dispensaient quotidiennement des soins aux habitants. Elles s’occupaient également des malades mentaux et des malades chroniques.
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module 13
538 Ko La traite des fourrures

Un camp de voyageurs
Le commerce de la fourrure constituait la principale activité commerciale de la colonie de la Nouvelle-France. Dans des camps les Européens et les trappeurs autochtones échangeaient des fourrures contre des marchandises.
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Les marchandises échangées
On échangeait principalement des couvertures de laine, des tissus de coton et de lin, des objets de métal, des armes à feu et du matériel de pêche.
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module 14

539 Ko
539 Ko
Les Métis
Vue A
Vue B

Le cheval, le bœuf et la charrette de la rivière Rouge permettaient aux Métis de traverser l’Ouest canadien. Aux grands campements les gens se rassemblaient pour préparer la viande et les peaux durant la chasse au bison. On passait plusieurs jours à traiter la viande pour en faire du pemmican.
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module 15
539 Ko L’industrie du bois

Au début du XIXe siècle, une nouvelle industrie fit son apparition dans les forêts de l’est et du centre du Canada. Le camp de bûcherons est semblable à ceux que l’on trouvait dans les chantiers de la vallée de l’Outaouais. Au milieu du siècle, cependant, les scieries produisirent de plus en plus de bois ouvré. Le bois était indispensable à l’industrie de la construction navale, au développement urbain, et à la production de papier.
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module 16
539 Ko Les loyalistes

L'établissement des loyalistes
À la suite de la Révolution américaine les immigrants appelés «loyalistes», déferlèrent sur le Canada. Quelques-uns arrivèrent dans des chariots de Conestoga. Les réfugiés logèrent durant quelques mois dans des tentes.
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La défense
On s’est efforcé de fortifier les frontières de l’Amérique du Nord britannique en érigeant des citadelles, des forts et des casemates.
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module 17
539 Ko Les militaires britanniques

Après la Conquête de 1763, les établissements des militaires britanniques occupent une place importante dans un grand nombre de centres urbains du Canada. Les fonctions du militaire consistaient à la défense, au maintien de l'ordre civil, à l'arpentage, à la cartographie, à la construction des routes et à autres devoirs.
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module 18
539 Ko Le commerce maritime

Les navires marchands sillonnaient l’Atlantique, transportant des produits d’ici tels que du bois, du poisson, des produits agricoles, du tabac et des produits manufacturés ainsi que du coton américain. De 1850 à 1870, la flotte canadienne devint la quatrième en importance de toutes les marines marchandes du monde.
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module 19
539 Ko Le chantier naval

La construction navale a constituée une importante activité économique dès les premiers jours de la colonisation. Avec l’amélioration de la technologie et l’importance accrue du commerce maritime, on commença à construire des navires plus rapides et d’un plus gros tonnage. Le navire en construction est une goélette, type de navire construit en Nouvelle-Écosse dans les années 1870 et 1880.
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module 20

539 Ko
532 Ko
Une ville ontarienne
Vue A
Vue B

Une rue ontarienne
Cette rue d’une petite ville ontarienne prospère, autour de 1885, illustre toutes les manifestations de la vie victorienne. L’opulence de villes comme celle-ci reposait en partie sur les innovations techniques.
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Les magasins
Les articles exposés dans les vitrines montrent les tendances de la mode. Le magasin de l’ébéniste illustre les progrès accomplis dans le secteur manufacturier.
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La maison du marchand
La classe huppée de la ville vivait dans l’aisance et le confort, comme en fait foi cette maison.
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Le chemin de fer
Le chemin de fer, tout juste terminé, permettait d’ouvrir de nouveaux marchés intérieurs et extérieurs, et on pouvait à présent se procurer de nombreux articles de luxe importés comme ceux dans les vitrines des magasins.
Informations complémentaires


module 21
539 Ko À l’intérieur de la maison du marchand

Le salon
La cheminée occupait une place primordiale dans le salon; on y disposait sur le manteau les objets de famille les plus précieux. Le mobilier se composait principalement d’un sofa et d’un certain nombre de chaises et de tables disposées de façon à favoriser la conversation en petits groupes.
Informations complémentaires

La salle à dîner
Le commerçant, sa femme et leurs enfants y prenaient ensemble le déjeuner, le diner et le repas du soir. Ils valorisaient beaucoup le partage de repas en famille.
Informations complémentaires

film d'objet
(module 21)

1.14 Mo
340 Ko
Service à thé (maison du marchand)
fenêtre grande
fenêtre petite
Les thés de l’après-midi et les grands soupers contribuaient à soigner l’image de marque de la famille.

Texte : Nancy Ruddell
Photographie : Harry Foster
Réalisation de Quicktime VR : Romy Randev
Réalisation de la page Web : Stephen Alsford