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La bataille du Canada Montcalm et Wolfe sur les plaines d'Abraham La bataille du CanadaLe trajet suivi par les
Britanniques d'Halifax à Québec, 1759
(Musée canadien de la guerre, 1.D.2.1-CGR2) Maquette de la bataille des
Plaines d'Abraham, Musée canadien de la guerre
Photo : Steven Darby, MCC Maquette
de la bataille des Plaines d'Abraham, Musée canadien de la guerre
Illustration de Malcolm Jones, 2005 Une vue de la capture de
Québec
13 septembre, 1759 Gracieuseté de Bibliothèque et Archives Canada, C-139911 En Amérique du Nord, la ville de Québec était le seul endroit où les Français pouvaient perdre la guerre de Sept Ans et les Britanniques, la gagner. Toute défense fructueuse du Canada était conditionnelle à l'arrivée de réserves et de renforts d'Europe empruntant le fleuve Saint-Laurent. Si les Britanniques prenaient la ville, ils pouvaient couper les lignes d'approvisionnement entre la France et le Canada. Les Français du pays seraient alors forcés à capituler. En juin 1759, une puissante armée britannique, amenée par la Royal Navy, arriva à Québec. Au bord de la défaite, après un siège infructueux de trois mois, les troupes britanniques débarquèrent à l'ouest de la ville, le 13 septembre 1759. Une armée composée de réguliers français, de miliciens canadiens et de guerriers des Premiers Peuples lui livra bataille sur les plaines d'Abraham. Les Britanniques l'emportèrent à la suite d'un affrontement armé d'une trentaine de minutes. Québec se rendit cinq jours plus tard. Montcalm et Wolfe sur les plaines d'AbrahamCette maquette illustre la bataille des Plaines d'Abraham vers 10 h 20, le 13 septembre 1759. Les réguliers britanniques sont en rouge; les réguliers français, en gris blanchâtre; les miliciens canadiens, en bleu; les guerriers des Premiers Peuples, en brun.
Des erreurs qui changèrent le cours de l'histoire
A. L'erreur de Wolfe - avoir choisi le terrain en contrebas
B. L'erreur de Montcalm - avoir abandonné le terrain
surélevé
C. Les Français à l'attaque
D. Les volées de tirs des Britanniques |