"Seul un homme coupé de la vie peut qualifier une armée de femmes d'inintéressante."
Revue matinale
Au-delà de son rôle évident de femme artiste, Pegi Nicol MacLeod considérait le service militaire de deux points de vue : celui des femmes laissées derrière, et celui des participantes. Elle était remarquablement bien placée pour faire comprendre un aspect relativement négligé du service de guerre. Le résultat est un tableau des années de guerre en Amérique du Nord du point de vue d'une femme.
"Il est injuste d'oublier les mères des soldats, les infirmières, les ouvrières. Et l'erreur est évidente quand on néglige aussi les femmes des forces armées.."
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| Salon de beauté du CWAC | Bouquet de cuillères |
Les premières oeuvres d'art militaire de Pegi Nicol MacLeod ont porté sur la présence militaire à Fredericton. Elle a ensuite reçu des commandes de la Galerie nationale (1944 et 1945), où elle observait quotidiennement le service militaire, puis elle est allée à New York, où elle a vécu avec des femmes dont les maris et les fils étaient partis à la guerre. Pendant la plus grande partie de cette période, elle a vécu dans la pauvreté, avec un jeune enfant et un mariage insatisfaisant.
"Mon travail est plus qu'agréable. Je m'occupe de ces chères Wrens maintenant, les femmes de la marine."
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| Wrens à midi, quartier général de la marine | Chez les Cwacs (filles heureuses) |
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