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Pointe de hakapik
années 1970
Norvège
Invention norvégienne, le hakapik a été
adopté au Canada en 1976 parce qu'il permettait une
chasse sûre et sans cruauté. On frappait le
phoque avec le bout émoussé, et le chasseur
qui perdait pied pouvait utiliser le bout recourbé
pour se hisser hors de l'eau.
(Musée canadien des civilisations, 998.37.1)
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Fusil à silex transformé
en fusil à percussion
milieu du XIXe siècle
Royaume-Uni
Don de Frank Porter, Hibbs Cove, baie de la Conception (Terre-Neuve)
Inscriptions : « Woodcock » (percuteur) et
« CT » (fût). On se servait de fusils pour
tuer les phoques plus âgés.
(Musée canadien des civilisations, N-300)
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Croc à gaffe
Terre-Neuve
Don de Douglas Shea, Twillingate (Terre-Neuve)
Les chasseurs de phoques fabriquaient des crocs sur place et
les fixaient à des perches de taille convenable.
(Musée canadien des civilisations, N-77)
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Gaffe
Terre-Neuve
Don de Derek Bowring, St. John's (Terre-Neuve)
Utilisée avant la saison de 1967, la gaffe était
l'instrument de la chasse au phoque traditionnelle. On frappait
le phoque avec le bout arrondi. Les chasseurs se servaient de
la perche pour se maintenir en équilibre sur les glaces
flottantes, et du croc pour se hisser hors de l'eau s'ils y
glissaient.
(Musée canadien des civilisations, N-259)
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Panier à glace
Terre-Neuve
Don de Derek Bowring, St. John's (Terre-Neuve)
Sur les glaces flottantes, souvent l'eau de pluie ou la neige
fondue gelaient et formaient de petits monticules. Les
équipages des navires mettaient cette glace dans des
paniers, ce qui leur procurait de l'eau potable à
bord.
(Musée canadien des civilisations, N-262)
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