Un membre du Corps vétérinaire de l'Armée canadienne et un cheval posent avec des masques à gaz. Les chevaux pouvaient supporter des concentrations plus fortes de gaz toxique que les humains, mais les produits chimiques pouvaient tout de même provoquer des lésions pulmonaires ou brûler leurs pattes et leurs sabots, ce qui pouvait obliger à les abattre.
Collection d'archives George-Metcalf MCG 19930003-453