Ce faux télégramme envoyé par « Un des Canadiens de Currie » dans « une tranchée de la ligne de front quelque part en France » aux cultivateurs de tabac du Canada, leur enjoint de donner deux livres sur cent de toute la récolte de tabac à fumer. Le tabac, décrit ici comme une « nécessité » était – tout comme le rhum – important pour le moral des troupes.
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Collection d'archives George-Metcalf MCG 19750487-003