La grenade à manche la plus courante fabriquée pendant la Première Guerre mondiale, le modèle 1917, était dotée d'un fusible à action différée de 5,5 secondes que le lanceur pouvait activer en tirant un cabillot à la base du manche. Le revêtement en tôle abritait un explosif pouvant tuer ou blesser les soldats par la simple force de l'explosion ou par les débris métalliques projetés. Ce modèle remplaça la grenade défensive modèle 1915 moins fiable qui n'explosait que par impact.
Grenade à main fusante à aérosol
MCG 20070067-097