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Bibliothèque Vivante – Témoins de conflits

Planifiez votre visite

Avez-vous jamais souhaité que vos livres prennent vie? À la Bibliothèque vivante du Musée canadien de la guerre, ils le peuvent!

La Bibliothèque vivante est offerte conjointement avec l’exposition temporaire Témoin – Art canadien de la Première Guerre mondiale. Choisissez parmi plus d’une douzaine de « livres vivants »; ils ont tous des histoires à partager sur le fait d’être témoin d’un conflit, au pays ou à l’étranger.

Les 21 et 22 juin, explorez notre Bibliothèque vivante et empruntez un « livre vivant » pour une conversation de 20 minutes. Apprenez ce qu’être témoin signifie pour des Canadiens « ordinaires », et posez vos questions.

L’inscription commence à 10 h 30 les deux jours dans le foyer du Musée canadien de la guerre.

Participez à la discussion en ligne, sur Twitter @MusCanGuerre #TémoinMCG ou sur Facebook à Facebook.com/museedelaguerre

 

 

Une artiste à Khandahar

Lorsqu’elle a accepté de participer au Programme d’arts des Forces canadiennes en 2007, Karen Bailey ne s’attendait jamais à être envoyée en Afghanistan. Elle n’avait également jamais imaginé que son expérience à l’hôpital de rôle 3 de Kandahar entraînerait la commande d’un portrait officiel de Michaëlle Jean, 27e gouverneure générale du Canada. Demandez à Karen Bailey de témoigner de la guerre du point de vue d’une artiste. Langue : en anglais

Offert seulement le samedi 21 juin

 

Souvenirs de conflit

Laurent Beaulieu sait ce que signifie être témoin d’un conflit. Il a été déployé au Koweït et au Soudan, où il a vécu avec la menace de la violence, a dû s’adapter à de nouvelles situations et a appris à faire passer son devoir avant lui-même. En parlant avec lui, découvrez son histoire du conflit qu’il a vécu sur le terrain. Langues : en anglais et en français

 

Un héritage militaire

Diplômé du Collège militaire royal du Canada en 1965, Mike Braham a commencé sa carrière dans la Marine. Suivant les traces de sa famille au passé militaire, il a été posté au Canada, aux États-Unis et à Bruxelles. Pendant la deuxième moitié de la guerre froide, Michael Braham a travaillé avec Protection civile Canada. Grâce aux histoires de son grand-père, de son père, de sa mère et à sa propre expérience, il a un point de vue unique de la guerre et de la façon dont elle se répercute sur nous pendant des générations. Langue : en anglais

 

Les étudiants sont témoins du passé

Rachel Collishaw, professeure d’histoire au Glebe Collegiate, a élaboré un projet de commémoration pour les anciens étudiants qui ne sont pas revenus de la Seconde Guerre mondiale. Les étudiants actuels font des recherches et se familiarisent avec la vie de ces jeunes hommes. En créant un mémorial, les étudiants d’aujourd’hui deviennent témoins et défenseurs du passé. Enseignante depuis 16 ans, Rachel Collishaw a reçu le Prix du Gouverneur général pour l’excellence en enseignement de l’histoire canadienne. Langue : en anglais

Offert seulement le dimanche 22 juin

 

Face à la guerre dans l’ex‑Yougoslavie

Déployé pendant 18 mois pour une mission très active de maintien de la paix en Yougoslavie, John Davidson a dû laisser à la maison sa femme, Raymonde, et leurs deux filles. Les membres de la famille se demandaient comment rester en communication, et comment John pourrait partager ses expériences avec sa femme et ses filles. Joignez-vous à John et à Raymonde pour entendre les deux points de vue de leur histoire. Langues : en anglais et en français. Offert seulement le dimanche 22 juin

 

Peindre la mémoire

Artiste spécialisée dans le portrait et l’art de guerre, Elaine Goble cherche à témoigner des conflits et à donner vie à une véritable narration dans ses œuvres. Elle croit que le récit se trouve dans le processus d’entrevue qui précède la production d’une peinture. Ses œuvres font partie de nombreuses collections un peu partout en Amérique du Nord, notamment celles du Musée canadien de la guerre, de la Monnaie royale canadienne et de Bibliothèque et Archives Canada. Langue : en anglais

 

Afghanistan – 3 août 2006

Le major Jon Hamilton a été directement témoin de la guerre et de conflits pendant ses multiples missions à l’étranger. Écoutez-le raconter l’histoire du 3 août 2006, lorsqu’il dirigeait un groupe de 14 soldats donnant l’assaut à 150 à 200 insurgés talibans. Contre toute attente, les soldats ont atteint leur objectif, mais ils ont perdu trois des leurs. Le major Hamilton a été blessé au cours de cette attaque. Langue : en anglais

 

En convoi

L’adjudant-maître William MacDonald a été envoyé en Afghanistan en 2006. Ce déploiement a commencé comme n’importe quelle autre mission. Lentement, les combats sont devenus plus intenses, jusqu’à ce que le peloton de MacDonald combatte tous les jours pendant presque un mois. William MacDonald compare cette expérience avec ses autres déploiements; en outre, il a été le témoin de conflits selon différents points de vue. Langue : en anglais

 

Ne jamais dire jamais!

Le major (à la retraite) Gordon Ohlke s’est enrôlé dans les Forces canadiennes (infanterie) en 1978. Tout au long de sa carrière, il a occupé divers postes et travaillé à différentes opérations. Sa formation spécialisée comprend l’analyse d’images, l’analyse du renseignement sur les transmissions, la langue russe et les opérations psychologiques. Il a été témoin de conflits tant dans les initiatives de planification que dans les initiatives d’opération. Langue : en anglais

 

Le temps des cartes

L’artiste locale Leslie Reid a participé pendant trois semaines au Programme d’arts des Forces canadiennes, retraçant des bandes de terre dans le nord du Canada que son père avait survolées comme pilote pour le 414e Escadron de photographie. Ce dernier avait pour tâche de photographier des millions de milles dans le nord du Canada afin de créer des cartes exactes utilisées pour des questions de souveraineté, de navigation, d’exploration et de développement. Langues : en anglais et en français

 

Service au combat en Afghanistan

À titre de technicien médical, le caporal-chef Martin Rouleau a été déployé trois fois en Afghanistan. Dans le cadre de ses fonctions, il a vécu de nombreuses situations qui l’ont rapproché de la population afghane. Il a vu comment la guerre a affecté les individus ainsi que les lieux avant, pendant et après le conflit. Langues : en anglais et en français

 

Les coûts et les avantages de notre service

Le lieutenant-colonel Jeremy Small a été déployé en Afghanistan en 2002-2003. Pendant son séjour outremer, il a pris la mesure des avantages de notre service, comme la défense et la sécurité de notre pays. Il a également été témoin de pertes, notamment des blessures physiques et émotionnelles dont ont été victimes ses amis et ses collègues. Lorsque Jeremy Small est lui-même tombé malade après son déploiement, il a vu l’incidence de sa maladie sur sa famille. Écoutez-le vous parler des avantages et des coûts de la guerre. Langues : en anglais et en français

 

Mettre en scène le traumatisme : sensibilité ou sensationnalisme?

Bronwyn Steinberg a récemment réalisé et mis en scène la pièce de théâtre intitulée Corpus, œuvre de fiction historique qui se déroule durant la Seconde Guerre mondiale.  Vous découvrirez en rencontrant Bronwyn Steinberg comment ses racines juives et la « culpabilité de survivante de troisième génération » qu’elle ressent l’ont convaincue de réaliser cette œuvre afin de permettre à la génération actuelle d’être témoin de ce conflit passé.

Langue : en anglais  Offert seulement le dimanche, le dimanche 22 juin.

 

Officier d’état-major en Afghanistan

Le major (à la retraite) Scott Usborne a été officier supérieur de liaison de la Force opérationnelle canadienne au quartier général du Commandement régional (Sud) à Kandahar, en Afghanistan, en 2010-2011. Il a été témoin du conflit à partir du quartier général, surveillant l’ensemble de la participation canadienne. Son point de vue diffère de celui des soldats sur le terrain, mais il est tout aussi intéressant. Langue : en anglais

 

Espérer en l’avenir

Enseignante à la retraite, Ellie Wilkinson s’est donné pour mission professionnelle d’enseigner àgérer plus sainement les conflits en encourageant l’utilisation de la justice réparatrice. En 2005, elle a accompagné en Serbie des étudiants canadiens qui, avec de jeunes Serbes, ont tenu une conférence de la paix qui a mené à la création du film Hope for the Future de l’ONF. Langue : en anglais

 

Rédemption

Ted Zuber, artiste canadien bien connu, s’est enrôlé en 1950, au début de la guerre de Corée. Il a participé à ce conflit comme tireur d’élite. Il a peint de manière non officielle en Corée, mais il est devenu un artiste de guerre officiel pendant la guerre du Golfe. Certaines de ses œuvres sont exposées au Musée canadien de la guerre. Langue : en anglais.  Offert seulement le dimanche 22 juin

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