Les forces alliées, dont la Marine royale du Canada (MRC), et celles de l'Axe s'affrontèrent dans la bataille de l'Atlantique, qui se déroula sur un vaste, et souvent dangereux, théâtre de guerre océanique. Des ports et des bases, tel Halifax, étaient primordiaux pour les navires. C'est à terre que les commandants planifiaient et coordonnaient les mouvements des convois et des forces anti-sous-marines.
Un marin canadien regarde, par-dessus le bastingage de son navire, la statue de la Liberté (à gauche du centre), dans le port de New York.
En 1942, la ville de New York devint le principal point de départ des convois transatlantiques, remplaçant deux ports de la Nouvelle-Écosse, Halifax et Sydney, même si le trafic maritime continuait d'y être considérable. New York était une escale fréquente pour les convoyeurs appartenant aux Forces d'escorte locales de l'Ouest (plus tard Forces d'escorte de l'Ouest), mises sur pied par le Canada et qui participèrent à la protection des convois et des navires à destination ou en provenance des ports du Nord-Est de l'Amérique du Nord.
Collection d'archives George-Metcalf
MCG 19801071-040_1