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MCG 20130271-020.2
Collection d’archives George-Metcalf Musée canadien de la guerre
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MCG 19920166-3387
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Caporal

Anderson, Albert Leonard

Unité

7e bataillon d'infanterie canadien (1st British Columbia Regiment)

Branche

Infanterie

Service

Corps expéditionnaire canadien, Armée canadienne

Numéro de service

510973,B403611

naissance

1893/06/27

Kent, Royaume-Uni, Angleterre

mort

1950/08/07

la tombe

le sexe

Homme

Albert Leonard Anderson est né le 27 juin 1893 dans le Kent, au Royaume-Uni, de Walter et de Jane Anderson. La famille émigre au Canada et, au moment où Albert Anderson entre dans le Corps expéditionnaire canadien, elle habite à Humber Bay, près de Toronto. Albert, qui, à l’époque, déclara son métier comme étant jardinier, fut affecté au 2e Corps d’intendance de l’Armée canadienne outre-mer le 22 mai 1916 à Toronto.

Le soldat Anderson quitte le Canada pour le Royaume-Uni le 27 septembre 1916 pour y suivre son entraînement, puis il est envoyé en France pour se joindre au bassin de main d’œuvre du Corps canadien de l’intendance en novembre 1916, au train de la 3e Division canadienne. À la fin de l’année, il est affecté au quartier général de la 7e Brigade d’infanterie canadienne. À ce moment-là, la 7e Brigade, qui comprenait les régiments du Royal Canadian Regiment et du Princess Patricia Canadian Light Infantry ainsi que les 42e bataillon d'infanterie canadien (Royal Highlanders of Canada) et 49e bataillon d'infanterie canadien (Edmonton Regiment), opérait dans le secteur d’Arras en France. La 7e Brigade, faisant partie de la 3e Division canadienne, passe le reste de la guerre dans le Nord de la France et en Flandre et participe à la plupart des grandes campagnes du Corps canadien jusqu’à l’Armistice. Anderson, qui souffre apparemment d’une mauvaise vue, est classé par l’armée dans la catégorie médicale « B », signifiant qu’il est apte au service dans un rôle de soutien au front mais non au service en première ligne. Le soldat Anderson revient au Canada à bord du SS Carmenia en 1919 et, à son arrivée, il est libéré le 20 mars de la même année.

À sa libération de service après la Première Guerre mondiale, il retourne à sa résidence de Weston, en Ontario, où, le 28 juin 1920, il épouse une veuve, Emily Castledine (née Pinder). Le couple eut un fils, nommé Lorne. Son certificat de mariage fait état de son occupation à l’époque comme aide monteur de lignes. Anderson se porte également volontaire pour la Seconde Guerre mondiale et sert comme artilleur dans la 15e Batterie de campagne de l’Artillerie royale canadienne, numéro de service B403611. Selon son certificat de libération, il aurait servi du 2 septembre 1940 au 2 juin 1941. Un deuxième certificat de libération présente le caporal Anderson sous un autre numéro de matricule, B-100001, en octobre 1946, au moment de sa démobilisation. Le caporal Anderson est décédé le 7 août 1950. Comme une Croix du Souvenir a été émise en son nom, il semble que sa mort ait été attribuée à des blessures ou à une maladie subies pendant l’une des deux guerres.

La Collection du Musée canadien de la guerre comprend les artéfacts suivants pour ce récipiendaire