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Avec l’aimable autorisation de Great War Centenary Association
Avec l’aimable autorisation de Great War Centenary Association
MCG 19840600-003
Collection d’archives George-Metcalf Musée canadien de la guerre
MCG 19840600-003 Collection d’archives George-Metcalf Musée canadien de la guerre
MCG 19920166-2293
MCG 19920166-2293

infirmière militaire

Baldwin, Dorothy Mary Yarwood

Unité

3e hôpital fixe canadien

Branche

Service de santé de l'armée canadienne

Service

Corps expéditionnaire canadien

Numéro de service

naissance

1891/10/10

Toronto, Ontario, Canada

mort

1918/05/30

Doullens, France

la tombe

cimetière britannique de Bagneux, France

le sexe

Femme

Dorothy Baldwin est née à Toronto, en Ontario, le 10 octobre 1891. Elle est la fille de Robert Willcocks Yarwood Baldwin et de Mary Fleming Baldwin, qui ont eu cinq enfants (trois filles et deux garçons). Sa sœur jumelle, Lelia, meurt à l’âge de deux ans.

Infirmière, Baldwin s’engage à Toronto comme infirmière militaire dans le Corps médical de l’armée canadienne le 2 mai 1917. Le 29 mai, elle embarque à Halifax, en Nouvelle-Écosse, pour l’Angleterre, où elle arrive le 8 juin 1917. On l’affecte immédiatement à l’Hôpital général canadien (militaire de l’Ontario) no 16, à Orpington, dans le Kent. Près de deux mois plus tard, Baldwin est transférée à l’Hôpital fixe canadien no 3, à Doullens, en France, où elle commence à travailler le 28 juillet 1917.

Dans la nuit du 29 au 30 mai 1918, l’Hôpital fixe canadien no 3 est bombardé par des avions allemands. Blessée durant l’attaque, Baldwin meurt le 30 mai 1918.

Deux autres infirmières militaires canadiennes, Agnes MacPherson et Eden Pringle, sont tuées durant le raid. Pringle, qui a 23 ans, est la plus jeune infirmière canadienne à mourir durant la guerre.

Dorothy Baldwin est enterrée avec d’autres victimes du bombardement – dont MacPherson et Pringle, qui reposent à côté d’elle – le 31 mai 1918 au cimetière britannique de Bagneux, en France. L’évêque Fallon de London, en Ontario, qui se trouvait dans la région au moment de l’attaque, participe aux funérailles.

La Collection du Musée canadien de la guerre comprend les artéfacts suivants pour ce récipiendaire