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À l’assaut, Neuville-Vitasse

Une peinture de soldats sur une colline sous un ciel nuageux exposée au Musée canadien de la guerre à Ottawa.

Pour les soldats de la Première Guerre mondiale, se hisser hors des tranchées pour lancer une attaque était un moment particulièrement angoissant.

Le soldat canadien Harold Simpson a décrit l’anxiété d’un soldat, « sachant exactement qu’au bout de quelques minutes, il sera appelé à faire face aux instruments de destruction les plus diaboliques et les plus efficaces que la science moderne ait pu inventer, de l’obus de 15 pouces à la grenade Mills, du feu liquide au gaz [traduction] ».

L’artiste belge Alfred Bastien dépeint dans son tableau l’attaque du 22e bataillon à Neuville-Vitasse, un village fortifié allemand dans la France occupée, à la fin du mois d’aout 1918. Le major Georges Vanier, futur gouverneur général du Canada, a soutenu qu’il était l’officier tenant le pistolet et menant l’assaut.